La journée a été très froide, la neige tombait sans relâche et la Salle Commune de Gryffondor était l'endroit le meilleur pour se réchauffer devant une belle cheminée. Les flammes crépitaient comme de feux d'artifice et les jeunes garçons présents étaient très heureux: ils pouvaient obtenir enfin le moment tant attendu de détente, la paix après les classes, les heures d'étude et de devoirs. Accéder au Lac Noire à lire un bon livre à l'extérieur, il était impossible, étant donné le froid: l'hiver avait frappé sur les portes de l'École de Magie et de Sorcellerie de Hogwarts avec une telle puissance à laisser tout le monde à bout de souffle; le Guardian, Monsieur Gazza, souvent avait les moustaches gelés, la barbe hirsute couverte de cristaux de glace et la tête grumeleuse qui le faisait ressembler à une sorte de bonhomme de neige. Partout on pouvait voir les décorations de Noël, des vacances le meilleur pour le Royaume-Uni: l'élégance brillait à chaque point et Oliver Brior, amant de l'étiquette, était enthousiaste. Comment pouvait-il ne pas apprécier le charme de cette période? Il aurait été un imbécile, au contraire il semblait vivre un véritable conte de fées. Le château de Hogwarts était plein de magie, comme toujours: il y avait des fées qui voulaient à droite et à gauche avec air ennuyé ou avec un sourire sur son visage presque macabre; dans le Grand Hall il y avait un sapin de Noël vraiment grand, grand comme un géant et plein de balles, des rubans et des lumières colorées. Les couloirs de l'école, encore, montraient des statues et des armures de fer très lumineux, comme si ces objets étaient en train de célébrer ensemble. Sans oublier les portraits! Les différentes figures à l'intérieur étaient habillés comme jamais auparavant: comtesses, nobles, des personnes influentes du Monde des Sorciers, même les animaux! Tout le monde avec des rubans, des parures, des couleurs brillantes et plus, comme si Madame Bennett avait appelé un peintre officiel pour faire quelque chose d'extraordinaire à Hogwarts. Et la Proviseur - comme on dit dans l'époque moderne - la meilleure absolument, elle avait réussi! Elle à été ou n'a pas été la interviewé la plus appréciée par Oliver dans sa chronique de la musique du Prophète? La réunion entre les deux a été très drôle, même si commencé du mauvais pied en raison de Lady, la chouette de Oliver, et d'une vengeance de l'oiseau: son ami n'avait pas donné des biscuits et donc Lady n'avait pas remis la lettre qui parlait de la réunion avec Madame Bennet. Conclusion? Oliver a été présenté sans préavis, ce qui l'étiquette n'aurait jamais accepté. Dans l'ensemble, la rencontre à été très agréable, la musique a toujours été un moyen idéal pour commencer une conversation. Pour cette raison, Oliver avait quitté la Salle Commune de Gryffondor à la Tour pour chercher un lieu où il aurait pu jouer sa guitare classique. L'instrument était simple, beau, linéaire et pour le jeune étudiant était le meilleur ami de sa vie: la musique peignait sa conscience, mais il ne pouvait pas jouer trop longtemps dans la Salle Commune, les autres étudiants étaient à la recherche de repos et d'espace pour étudier en silence. Avec ces pensées dans sa tête, Oliver avait récupéré la guitare avec une pochette noire de peau, la baguette magique de bois de sapin, différentes amulettes, un Galion qui avait un immense sentiment pour lui et dont il ne se séparait jamais, le sac avec des partitions musicales, son calepin et quelques objets magiques et ... Mos, sa Puff Pygmée qui le suivit partout. La créature magique était rouge et ressemblait à une boule de Noël, caché dans la poche de la veste du garçon. En fait, Oliver portait un pullover bleu foncé avec un thème de Noël avec des rennes rouges et les flocons de neige comme un cristal blanc, une paire de jeans et clairement ses bien-aimés Converse rouges. Il ne voulait pas quitter le château, il faisait trop froid: il était en train de trouver un peu de paix avant de traiter avec d'autres tâches liées au rôle de Chef de Garçon. Avec un sourire sur son visage, il sortit et initia à descendre les étages inférieurs du château: au quatrième étage il y avait un bureau vide, peut-être; au troisième définitivement, il se rappelait l'aventure avec sa Helen et la mémoire était belle. En descendant les escaliers vers le bas, il pansait, la guitare attachée derrière comme si elle était un sac à dos, tandis que Mos était déjà endormi dans la poche. Un moment plus tard, cependant, une voix aiguë l'enraya. Oliver arrêta, leva les yeux du bas vers le haut et vit une créature magique semblable à un sprite avec de longues oreilles, le nez aquilin et la bouche tiré pour former un sourire.
Notre chemins se sont croisés
mon petit ami, mon petit frisé
Qu'est-ce que tu donc peux faire?
Me tuer, m'embrasser ou encore me condamner?
Hi Oh Eh, c'est déjà l'heure
un plongeon dans la m...
Oh, pardon! Je voulais dire mer!
"PIX, N'OSE PAS, N'OSE PAS!"
Mais Oliver n'eut pas le temps d'en dire plus, parce que le moment suivant le damné poltergeist choisisse de lancer un grand nombre de seaux d'eau froide sur le couloir. Le garçon a été frappé en plein, baignant de la tête aux pieds. La colère explosa, il sortit sa baguette serrée fermement entre les doigts de la main dominante, c'est-à-dire le droit, puis il fit tourner son poignet trois fois, comme pour dessiner trois cercles dans l'air. Il écria immédiatement: "Flipendo!" pour frapper Pix avec un rayon de lumière orange. Le poltergeist a été prise en pleine, jetée à quelques mètres. Dans ses mains, cependant, il était sur le point d'apparaître un autre seau d'eau froide. Oliver tremblait de froid et de la colère, il était complètement trempé et il n'avait pas encore terminée. "Bon dieu de la France, Je vais déchirer ton petit cerveau!" dit-il, en colère. Mos s'enfuit de sa poche pour sauter sur le sol mouillé. Il était juste le début de la guerre contre Pix.